La médecine intégrative, un atout pour les patients atteints de cancer
Fiche thérapie complémentaire – Écrit par l’équipe THP
Dans cet article sur la médecine intégrative, nous allons poser les questions suivantes et y répondre :
- La médecine intégrative et cancer: une alliance gagnante ?
- Quelles sont les différentes modalités de la médecine intégrative dans l’oncologie?
- Que disent les données probantes au sujet de la médecine intégrative?
- Quels sont les risques de la médecine intégrative?
- Quelles sont les thérapies complémentaires les plus utilisées dans la médecine intégrative en France ?
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Au fil du temps, vous avez dû entendre plusieurs termes différents qui semblent très proches les uns des autres. Prenons un moment pour expliquer ce qu’ils signifient et comment ils sont tous liés, afin de nous assurer que nous sommes sur la même longueur d’onde.
Tout d’abord, expliquons la différence entre les termes santé intégrative et médecine intégrative.
Santé intégrative se concentre davantage sur l’état de santé général de la personne et sur son bien-être, qu’elle soit malade ou non, tandis que médecine intégrative se concentre sur la guérison, en supposant qu’il y ait quelque chose à guérir. Une définition de la médecine intégrative pourrait être une approche holistique de la médecine qui englobe à la fois la médecine conventionnelle et la médecine douce.
La médecine conventionnelle est ce que la plupart des gens imaginent sous le terme « médecine ». C’est un terme qui signifie l’approche occidentale prédominante de la santé et de la guérison, qui utilise des connaissances et des procédures basées sur la recherche, qui se concentre principalement sur l’aspect physique de la santé et qui mesure très précisément les effets des interventions. Elle est reconnue par l’État et souvent couverte par divers régimes d’assurance-maladie publics ou privés.
La médecine douce est considérée comme moins agressive et moins invasive que la médecine conventionnelle. Elle comprend la médecine complémentaire et la médecine alternative.
La médecine complémentaire fait toujours partie de la médecine conventionnelle, elle peut être reconnue et couverte par l’État dans une certaine mesure. Elle n’est pas nécessairement prescrite à un patient par un médecin, mais de nombreux médecins en recommandent une forme pour soutenir le traitement en cours. Les effets de la médecine complémentaire sont généralement étayés par certaines recherches, mais peut-être pas autant que les pratiques de la médecine conventionnelle.
La médecine alternative comprend toutes les pratiques qui ne font pas partie de la médecine conventionnelle, d’où leur positionnement comme « alternative ». Ce sont les pratiques dont les prestataires ne sont pas réglementés par l’État, ce qui signifie qu’il n’existe pas de formation officiellement reconnue pour eux, que l’assurance-maladie ne les couvre pas et que les praticiens de la médecine conventionnelle ne les considèrent souvent pas comme une option viable.
La médecine intégrative et cancer: une alliance gagnante ?
La médecine intégrative dans l’oncologie a vu le jour aux États-Unis dans les années 90 dans un effort d’offrir une approche plus holistique et centrée sur le patient lors du traitement contre le cancer [1].
Elle combine les thérapies de médecine conventionnelle avec celles de la médecine douce pour lesquelles les études démontrent une certaine efficacité.
Cette méthode favorise une collaboration interprofessionnelle afin de personnaliser le traitement aux besoins individuels de chaque patient.
Au lieu de se limiter aux médecins et aux infirmières, l’équipe traitante inclut plusieurs professionnels aux compétences complémentaires qui travaillent ensemble afin de fournir une gamme de soins complète.
Elle permet aussi aux patients d’assumer un rôle actif à toutes les étapes du traitement, ce qui augmente le sentiment de contrôle par rapport à la maladie.
L’approche semble fonctionner car selon un rapport de l’Association Francophone des Soins Oncologiques de Support (AFSOS), 64% des patients qui ont un cancer essaient des thérapies complémentaires et 84% d’entre eux se disent satisfaits du résultat [2].
Quelles sont les différentes modalités de la médecine intégrative dans l’oncologie?
Il y a plusieurs pratiques qui sont incluses dans la médecine intégrative et elles peuvent être divisées en quatre catégories principales [3] :
Les pratiques corps-esprit
- La pleine conscience
- La rétroaction biologique
- La méditation
- La relaxation
- Le yoga
- La thérapie musicale
- L’hypnose
- La thérapie cognitivo- comportementale
Les pratiques biologiques
- Les suppléments nutritionnels
- Les plantes médicinales
- Les régimes diététiques, incluant les jeûnes thérapeutiques
Les pratiques « corps »
- Reiki
- Tai Chi
- Le touché thérapeutique
Les pratiques médicales non-conventionnelles
- L’acupuncture
- L’homéopathie
- La massothérapie
- La naturopathie
- L’ostéopathie
Que disent les données probantes au sujet de la médecine intégrative?
Dans le but d’aider les professionnels de la santé à pratiquer la médecine factuelle, les lignes directrices sur les traitements et les soins contiennent des recommandations gradées. Les grades sont une façon de commenter sur la force de la recommandation ainsi que sur la qualité de la preuve scientifique qui la supporte.
En France, la Haute Autorité de Santé utilise le système de gradation HAS afin de classer les différentes recommandations médicales [4].
Une recommandation de grade A provient d’une preuve scientifique de haute qualité tandis que celle de grade B s’appuie sur une preuve de qualité intermédiaire. Finalement, un grade C signifie que le niveau de preuve est faible.
Une étude publiée dans le journal de l’institut national du cancer a évalué l’efficacité de différentes thérapies afin de traiter les symptômes du cancer du sein et de son traitement [5].
Ils ont déterminé que la recommandation de pratiquer du yoga, de la méditation et de la relaxation pour diminuer les symptômes de dépression et d’anxiété reliés au traitement du cancer est de grade A.
Les recommandations de grade B incluent la pratique de la massothérapie et de la thérapie musicale afin de diminuer le stress, l’anxiété, la fatigue et la dépression reliés au cancer et à son traitement. Les recommandations de pratiquer du yoga et de la méditation afin de diminuer la fatigue et le stress sont aussi de grade B.
Finalement, dans le contexte de cette étude, la plupart des autres pratiques populaires de la médecine intégrative, comme l’hypnose et l’activité physique adaptée, ont des niveaux de recommandation de grade C ou bien aucun grade en raison du manque d’études scientifiques sur le sujet.
Bien que les preuves scientifiques soient importantes, les bénéfices perçus par le patient pourraient l’être encore plus, car un patient qui se sent mieux est plus apte à subir ses traitements.
Comme mentionné précédemment, la majorité des individus qui incorporent des thérapies complémentaires disent éprouver des bénéfices satisfaisants. En effet, les patients rapportent une diminution des effets secondaires causés par le cancer ou bien les traitements, comme la nausée, les vomissements, la fatigue, l’anxiété et la dépression [6].
Quels sont les risques de la médecine intégrative?
Les thérapies alternatives ou complémentaires causent rarement des effets secondaires importants et sont en général bien tolérées par les patients [2].
Cependant, il est tout de même important que le patient travaille en collaboration avec son équipe oncologique, car ces thérapies ne sont pas toutes sans risque.
Par exemple, les remèdes homéopathiques ou bien les herbes médicinales peuvent contenir des ingrédients qui interfèrent avec les médicaments de prescription [2]. Les suppléments nutritionnels sont aussi des substances non réglementées, ce qui veut dire que la pureté et la qualité du produit varient grandement selon la marque [3].
De plus, certaines pratiques sont non recommandées selon la situation particulière du patient.
Par exemple, les massages des tissus profonds doivent être évités par les patients qui ont un lymphœdème et l’acupuncture n’est pas recommandée pour ceux qui ont un peu de globules blancs [3]. L’activité physique adaptée n’est pas sans risque et certaines conditions, comme les lésions osseuses, sont incompatibles avec l’activité physique [7].
Finalement, si on décide de suivre un régime particulier, il faut s’assurer que celui-ci fournit assez de calories, de vitamines et de minéraux. Puisque certains régimes interdisent des catégories entières d’aliments, comme la viande ou bien les grains entiers, il est possible de souffrir de carences alimentaires [8]. Comme les patients qui ont un cancer sont souvent dans un état de malnutrition, soit en raison de la maladie ou des traitements, il est particulièrement important d’éviter d’aggraver encore plus le statut nutritionnel [9].
Quelles sont les thérapies complémentaires les plus utilisées dans la médecine intégrative en France ?
En France, les thérapies complémentaires les plus pratiquées incluent l’homéopathie, la prise de suppléments alimentaires, les régimes diététiques, la phytothérapie, l’acupuncture et l’activité physique adaptée [10].
L’homéopathie
Le principe de l’homéopathie est d’administrer à un individu des quantités infinitésimales d’un remède qui, à doses élevées, produit des symptômes qui ressemblent à ceux de la maladie que l’on tente de traiter.
Une personne sur cinq ayant un cancer choisit de prendre des remèdes homéopathiques afin de complémenter les traitements traditionnels contre le cancer [11].
Selon les homéopathes, leurs traitements pourraient diminuer les symptômes de dépression et d’anxiété [11]. Ils amélioreraient aussi la cicatrisation et permettraient de mieux tolérer l’anesthésie générale pour les patients qui subissent une chirurgie [10]. Finalement, l’homéopathie pourrait soulager les symptômes reliés au traitement de chimiothérapie et de radiothérapie, comme les nausées, les troubles cutanés, la constipation, la gingivite, les troubles de déglutition, les rougeurs ainsi que les brûlures [11] [12] [13] .
En France, les médicaments homéopathiques sont en vente libre et ne nécessitent pas de prescription. Aussi en France, tous les médecins sont autorisés à prescrire des médicaments homéopathiques, mais ils n’ont pas tous suivi de formation complémentaire en homéopathie [14]. De plus, bien qu’il y ait 5,000 médecins homéopathes en France, cette pratique n’est pas reconnue par l’Ordre des médecins [15].
À noter que les études cliniques n’ont pas encore prouvé l’efficacité des traitements homéopathiques et les effets bénéfiques pourraient être reliés à l’effet placebo [16].
En fait, depuis janvier 2021, la Sécurité sociale en France ne rembourse plus les médicaments homéopathiques, en raison du manque de preuve scientifique concernant son efficacité.
Certaines mutuelles d’assurance privées offrent cependant encore le remboursement, soit total ou partiel, de ces médicaments tout dépendamment du plan et de la couverture [14].
Ceux qui le désirent peuvent débuter les traitements homéopathiques dès l’annonce du diagnostic et à chaque étape de traitement [10], ou lorsque l’effet placebo pourrait être bénéfique [17] .
La prise de suppléments alimentaires
Le cancer peut parfois causer une perte d’appétit ou bien des symptômes qui rendent la prise d’aliments difficile, comme la difficulté à avaler. Les suppléments peuvent donc fournir un apport supplémentaire de nutriments et minéraux afin de permettre à l’individu de rencontrer ses besoins nutritionnels [8].
Les suppléments peuvent aussi aider les patients à mieux tolérer certains traitements contre le cancer. Par exemple, il y a des preuves que les suppléments d’oméga-3 aident à supporter le système lors de la prise de certains médicaments contre le cancer comme le dacarbazine, l’imatinib et les antibiotiques antitumoraux. Ils pourraient aussi être bénéfiques pour les patients qui subissent des greffes de cellules souches [18].
Les vitamines B6 et B12 quant à elles pourraient aider le patient qui prend des analogues du platine, des anthracyclines, des anti-métabolites et des vinca alcaloïdes [18].
Encore une fois, il est essentiel de travailler en collaboration avec son équipe médicale afin de savoir quels suppléments sont appropriés pour votre situation.
Les régimes diététiques
Il est important de bien s’alimenter lorsqu’on lutte contre le cancer. La nourriture nous fournit l’énergie dont nous avons besoin pour supporter les effets du cancer et des traitements. Une bonne alimentation aide aussi à supporter le système immunitaire en plus de procurer un sentiment de bien-être [8].
Il existe une diète anti-cancer dont les points essentiels se résument à éviter les aliments riches en sucres et graisses saturées, les viandes rouges, la charcuterie et l’alcool. Il faut aussi augmenter la consommation de fruits, de légumes et d’aliments riches en fibres [19].
Selon cette diète, il est important de consommer du thé vert sur une base régulière car il contient de la catéchine, une substance qui pourrait bloquer certains processus cancéreux.
Le curcuma devrait être utilisé dans la plupart de vos recettes car il pourrait être bénéfique dans la lutte contre le cancer [20]. Les aliments tels que l’ail, le gingembre, le basilic, le romarin et la coriandre seraient aussi à privilégier en raison de leur forte teneur en antioxydants [21].
Afin de renforcer les bénéfices du régime anti-cancer, vous pouvez augmenter votre consommation de fruits et de légumes crus car ils contiennent plus de vitamines et minéraux que lorsqu’ils sont cuits.
Sinon, il vaut mieux favoriser la cuisson à la vapeur afin de préserver le plus de nutriments possibles. Finalement, il est important de bien laver tous ses fruits et ses légumes pour se débarrasser des pesticides [19].
La phytothérapie
La phytothérapie utilise les plantes médicinales ou bien les produits à base de plantes dans le but de rétablir et de maintenir le métabolisme du corps.
Les spécialistes de la phytothérapie maintiennent que cette pratique permet le soutien et la stimulation des mécanismes de guérison du corps [22].
En France, les plantes médicinales sont en vente libre et donc leur utilisation n’est pas régulée. La loi ne reconnaît pas non plus la formation des herboristes thérapeutes, des herbalistes et des naturopathes. Il existe cependant des médecins phytothérapeutes qui sont des médecins généralistes qui ont suivi une formation spéciale à la suite de leurs études médicales [23].
Si votre équipe médicale l’a approuvé, vous pouvez contacter un médecin phytothérapeute immédiatement après avoir reçu votre diagnostic. L’Assurance sociale couvrira 70% du tarif de base, mais seulement si vous consultez un médecin formé pour cette pratique.
Les plantes médicinales ne sont cependant pas remboursées [24]. Encore une fois, vérifiez votre politique d’assurance afin de savoir si votre mutuelle privée couvre une partie des frais pour ces soins.
L’acupuncture
L’acupuncture utilise des aiguilles afin de stimuler des points précis dans le but de rétablir la circulation d’énergie dans le corps. Pour en apprendre plus sur les bienfaits de l’acupuncture lors du traitement contre le cancer, veuillez consulter (Pour en savoir plus sur l’acupuncture, cliquez ici.).
L’activité physique adaptée
Faire de l’activité physique durant les traitements contre le cancer peut apporter de nombreux bénéfices et supporter la guérison. Elle prévient et corrige le déconditionnement physique, réduit la fatigue, augmente la tolérance aux traitements et diminue le risque de récidive une fois les traitements terminés. Plus vous commencez l’activité physique tôt, plus les bénéfices ressentis seront grands [7] [25].
À noter que vous devez suivre un programme d’entraînement adapté à votre situation. Il est donc important de consulter un kinésithérapeute, un ergothérapeute ou un psychomotricien.
Ces professionnels détermineront s’il est sécuritaire pour vous de faire de l’exercice et vous bâtiront un plan adapté. Leurs services ne sont pas couverts par l’Assurance sociale, mais certaines mutuelles privées remboursent partiellement les frais [26].
N’oubliez pas !
- L’oncologie intégrative permet d’attaquer le cancer sous tous les angles possibles en traitant les aspects biologiques, psychologiques et sociaux de la maladie. Elle permet donc une approche de traitement plus personnalisée.
- Les pratiques les plus populaires en France, soit l’homéopathie, la nutrition adaptée, la prise de suppléments, la phytothérapie, l’acupuncture et l’activité physique adaptée sont des exemples de thérapie que vous pouvez intégrer dans votre traitement, avec l’accord de votre médecin.
- Les études scientifiques sont encore partagées quant à leur efficacité, mais les patients qui les adoptent sont en majorité satisfaits.
Ces ressources ne sont qu’une fraction de ce qui est disponible dans notre application. Testez-la ici gratuitement.
Bibliographie
- Handfield, «L’ABC de la médecine intégrative,» La Presse, 1er mars 2016. [En ligne] (Accès le 9/12/2021).
- SafeMed, «Oncologie intégrative: une approache qui associe traitements médicaux conventionnels et thérapies complémentaires,» 03 Avril 2020. [En ligne] .
- (en anglais) OncoLink Team, «All About Integrative Oncology,» 15 juin 2021. [En ligne]
- Barrès, «Niveaux de preuve et gradation des recommandations selon la HAS,» 1er mars 2019. [En ligne].
- (en anglais) H. Greenlee, L. G. Balneaves, L. E. Carlson, M. Cohen, G. Deng, D. Hershman, M. Mumber, J. Perlmutter, D. Seely, A. Sen, S. M. Zick et D. Tripathy, «Clinical Practice Guidelines on the Use of Integrative Therapies as Supportive Care in Patients Treated for Breast Cancer,» Journal of the National Cancer Institute, 12 novembre 2014. [En ligne].
- (en anglais) UPMC, «Integrative Oncology: A Holistic Approach to Cancer Care,» 17 septembre 2015. [En ligne] / (Accès le 19/12/2021).
- Institut national du cancer, «Activité physique et cancers: des bénéfices prouvés pendant et après les traitements,» 28 mars 2017. [En ligne] (Accès le 10/12/2021).
- Société canadienne du cancer, «Bien s’alimenter lorsqu’on a le cancer» [En ligne] (Accès le 10/12/2021)
- Nestle HealthScience, «Dénutrition et cancer,» [En ligne] (Accès le 10/12/2021).
- Vie et Cancer, «L’oncologie intégrative: c’est quoi?,» 18 février 2020. [En ligne] (Accès le 10/12/2021).
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- Crépeau, «5 mythes tenaces sur l’homéopathie,» Agence Science Presse, 15 novembre 2019. [En ligne] (Accès le 10/12/2021).
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- J. Cardenas, «Phytothérapie: que dit la législation?,» 29 novembre 2019. [En ligne] (Accès le 16/12/2021).
- magnolia.fr, «La phytothérapie: ses bienfaits et son remboursement,» [En ligne] (Accès le 16/12/2021).
- A. Coppola, «Cancer: les programmes d’activité physique adaptée pendant et après les traitements,» 26 mars 2019. [En ligne] (Accès le 10/12/2021).
- France Assos Santé, «Activité physique adaptée: conseils pratiques pour l’intégrer dans son parcours de soins,» [En ligne] (Accès le 16/12/2021).